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Vassilissa
reste seule. Elle fait le tour de la maison de Baba-Iaga, s'étonne
de tant d'abondance et s'arrête pensive : par où commencer?
Et voilà que tout le travail est déjà fait; la poupée
était en train de trier les derniers grains.
O toi, ma libératrice ! dit Vassilissa à la poupée.
Tu m'as sauvé la vie.
- Il ne te reste qu'à préparer le repas, répondit
la poupée en grimpant dans la poche de Vassilissa, prépare-le
avec l'aide de Dieu et repose-toi à ton aise.
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